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Réponses du sujet "retrouver son métier de base !!"

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AuteurSujet : retrouver son métier de base !!
pomme02
Inscrit le : 25/03/2007
Messages : 2
Posté le 25/03/2007 à 16:17:46            

 j'ai toujours aimé ce métier de maroquinier ayant obtenu le C.A.P  et le B.E.P cuirs et peaux  a GRAULHET dans le TARN (1986 1987) je suis partis ensuite a grégoire PARIS pour une mention complémentaire  de styliste patronnier que j'ai obtennu mais, j'habitait l'aisne a ce moment là et je n'ai obtenu que des emplois de mécannienne en couture  chez Delsey  dans le coin!!!

Il a fallut que je me reconvertisse dans un autre emploi pour pouvoir continuer....... aujourd'hui j'ai l'impresion que j'ai toutes mes capacités  proffessionel d'avant avec un peut plus de maturité et de patience!! je voudrais savoir si des personnes se sont retrouvés comme moi obligées de changé de metier et envisage aujourd'hui d'y retourner si les professionnel nous laisse une autre chance !!!!!      merci de vos réponses

passionnée
Inscrit le : 12/11/2007
Messages : 2
Posté le 20/11/2007 à 17:14:13            

Bonjour Pomme02,

Je vois qu’il n’y a pas eu précipitation pour des réponses.
J’espère que depuis mars 2007, tu n’as pas lâché prise et que tu as continué tes recherches de ton côté, en faisant ton bout de chemin.

Ecoute. Si tu es motivé, que tu en as vraiment envie, que tu t’en sens capable, le temps a passé, et si cette petite musique qui fredonne à tes oreilles et à ton cœur, tu as envie de la suivre, alors vas-y, montre ou fonce, tente ta chance. Le passé est le passé, et on est prêt quand on est prêt.

Tu as une bonne formation, effectuée jusqu’au bout, je ne sais pas ta situation, ni si tu es prête à changer de lieu géographique et dans quelle mesure, mais j’ai l’impression que pour toi ce qu’il te manque c’est un pied à l’étriller.
Alors voici, parmi ce que je connais, ce qui pourrait si rapporter le mieux :

Formation Post Bac Artisan Maroquinier, lycée d’Alembert à Issoudum (Indre), d’environ 8 mois (au rythme scolaire de l’éducation nationale).
Intitulée aussi FCIL (formation complémentaire d’initiative locale) Artisan Maroquinier, en passant par le Greta de l’Indre.
Environ 16 semaines à l’école et 16 semaines en périodes d’entreprises.
Créée à l’initiative de professionnels français de la maroquinerie de luxe et du lycée professionnel Jean d’Alembert, afin de préparer des personnels hautement qualifiés pour une adaptation rapide et aisée sur tout type d’activité dans le domaine de la mise au point, de la réparation, des commandes spéciales …

- Revue des types de montage / Pièces d’études.
- Recherche de solutions technologiques, par rapport aux matières et aux contraintes.
- Utilisation d’un fichier, d’un catalogue de données ou d’un cahier de tendances.
- Modification de taille / d’agencement / Maîtrise des volumes et proportions / Recherche des tendances.
- Utilisation de la CAO 2D (je ne sais pas quel logiciel, ni s’il y a de la 3D) (Mais ça c’est le plus, qui devait te manquer dans ta formation à la CCI de Paris).
- Réalisation prototype de petite maroquinerie, d’un sac ou d’un bagage.
- Situer et décider de la réparation d’un sac ou d’un bagage / Effectuer celle-ci sur un produit client.
- Initiation couture-sellier.
- Initiation gainerie et façonnage d’un produit.

Demander détail du contenu de la formation pour confirmation.
Formation reconduite d’une année à l’autre, de septembre à juin hors vacances scolaires, débouchant sur un emploie, en général les premières années en production en passant par tous les postes, dans le but d’intégrer par la suite le bureau d’étude ; sauf cas exceptionnel d’une personne capable d’intégrer directement le bureau d’étude.
Attestation Rectorale en fin de formation. Contrôle en cours de formation par évaluation des modules préparés au lycée et réinvestis dans l’entreprise.
Inscription et sélection sur dossier à retirer, puis série de tests. Niveau de recrutement : élèves de Bac Pro ou BTS Cuir, autres candidats les contacter. Dans tous les cas le candidat devra posséder une grande capacité de travail, d’autonomie, et la volonté de mobilité dût à l’implantation nationale des entreprises.
Le lycée dispose d’un internat, et l’hébergement pendant les périodes de stages est étudié pour chaque terrain et est à la charge de l’entreprise.
Contact : M. SADOIS Chef de Travaux : 02 54 03 67 00

Pose des questions, et explique ta situation, ton désir.

Le Hic, c’est qu’il faut impérativement partir de l’internat le week-end, que les lignes de trains SNCF pour les grandes distances sont males desservies et détaillées, et qu’apparemment il faut même amener ses draps et couvertures.
Il y a quelques hôtels pour le week-end à différents tarifs ; demander plan et prospectus d’Issoudum dans n’importe quel Office du tourisme de France.
Le coût, internat+hôtel+repas le week-end et en périodes d’entreprises+laveries-automatiques pour le linge+trains entre les vacances scolaires et le lycée ou l’entreprise, commence à chiffrer haut si on a pas de revenu quel qui soit. D’où l’intérêt de passer par le Greta, mais à ce moment la formation devient payante.
S’y prendre à l’avance pour l’organisation avec le GRETA d’Issoudum, si on passe par eux dans le but de monter un dossier, car suivant situation et lieu d’origine, il va falloir pagayer dur et la route est longue et pleines de méandres. Mais rien n’est impossible.

Dommage qu’il n’y ai pas de contrat de professionnalisation à ma connaissance, mais on peut toujours essayer de le faire créer. Dommage aussi quelle ne soit pas diplômante par une MC ou BM ou autre, car franchement ils sont où les diplômes de formations complémentaires dans notre corps de métier la maroquinerie, sans faire un BTS qui n’existe même pas en spécialité maroquinerie ou un Bac Pro qui s’est développé petit à petit dans la France, le BT qui a été supprimé il y a longtemps, la MC Modéliste-Patronier Maroquinerie Niv.IV à la CCI de Paris qui n’existe plus,(remplacé par le bac pro), qui d’ailleurs était la seule en France comme si tout le monde pouvait aller à Paris, et puis faut pouvoir tenir le choc, supporter d’entendre qu’on vienne de « province » comme si la France était constitué de Paris et de la Province, que c’est la mode , la mode , la mode ! pour peut que la tendance est une langue étrangère et que tu es en panne d’inspiration, tu décroches et es complètement largué, pas mal pour une entrée en matière, bonjour le décalage avec ton BEP de province, tout seul dans cette ville où il faut regarder en l’air pour voir le ciel, et pourtant tu avais bien réussi les tests, tu avais bien posé plein de questions à la journée porte ouverte .Mais c’est vrai, c’est une très bonne formation, il faut juste tenir le choc, être entouré, et que tout ce passe bien.
Mais je m’égare … désolé.
Donc, un diplôme après le BEP, à coté ou avant le Bac Pro, ça manque terriblement en maroquinerie, ça existe bien pour d’autres métiers comme pour la pâtisserie, alors qu’est-ce qui ce passe, qu’est-ce qu’on attend ! ? Du pratique, du pratique, du manuel, ouvert à tous sans limite d’âges.
Je sais pas moi, une MC gainerie/dorure (où il n’existe aucune formation professionnelle, comme d’ailleurs :)la Malleterie, un BM Sellerie-Maroquinerie d’Art, un BM Artisan Maroquinier Hautement Qualifié, un BMA Artisan Créateur en Maroquinerie, un BMA Technicien Prototypiste Maroquinerie, BMA Technicien Méthode/Sécurité/Maladies Professionnelles Maroquinerie (la formation de méthode qui à tout simplement disparue des formations pour adultes, pendant que nous on « crève » en productions de sous-traitance), un BMA Agent d’encadrement/Chef d’équipe et d’atelier en Cuir avec division de la section en spécialités maroquinerie ou chaussures (avec des candidats qui ont apprit le métier, ça leur évitera d’oublier le respect de la personne et de nous expliquer un geste qu’ils ne sont même pas capable de faire correctement, ni de se rendre compte de se qui est faisable de faire ou non dans les temps, avec de l’anticipation et de l’organisation, du dialogue et de l’écoute, de la coordination), un BM de Technicien de maintenance de machines Cuir (qui lui aussi a disparu, et maintenant les entreprises commencent à ne plus trouver de nouveaux personnels capables de régler une machine à piquer. Y’ a qu’à voir ce que ça va donner en observant le corps de métier des tisseurs qui cherche désespérément des gareurs, c’est la panique !), …On a quand même pas oublié ces métiers dans nos livres de la première moitié du XXème siècle, précieusement gardés dans nos musés de la capitale !
Et par pitié tous ses beaux métiers, pas à paris, car tout le monde peut vivre en province, mais tout le monde ne peut pas aller à paris, et trouvez des villes desservies par des grandes lignes de trains sans faire le grand détour par notre si belle capitale.
Voilà j’ai encore un peut dérivée ...

Come-back,
Cher(es) Pomme02 et toute personne dans une situation similaire, que ce soit cette formation ou une autre, ou même rien du tout, rien ne t’empêche de postuler directement auprès d’entreprises, avec ta motivation et ton écoute afin de suivre le chemin de ton cœur. Bonne chance à tous, y compris à moi-même.

Sincèrement.

--Message modifié le 15/12/2007 à 08:56:16--
myCTC.fr
Inscrit le : 30/01/2002
Messages : 1971
Localisation : Lyon
Posté le 28/11/2007 à 12:00:06            

 Bonjour,

sachez qu'il existe des formations en maroquinerie proposée par le Centre de Formation de CTC dans le cadre de la formation continue : devenir prototypiste en petite maroquinerie ou en sac de ville, se perfectionner dans les techniques traditionnelles en maroquinerie, s'initier aux techniques de base en maroquinerie

De plus, dites vous que CTC a pour mission de pérenniser les savoir-faire en maroquinerie et de mettre à disposition un fonds documentaires unique au monde en maroquinerie (dont la collection du Moniteur de la Sellerie depuis 1889). Et nous sommes en province ;-)

Cordialement,

L'équipe CTC.fr

  •                 
    pomme02
    Posté le 25/03/2007 à 16:17:46

     j'ai toujours aimé ce métier de maroquinier ayant obtenu le C.A.P  et le B.E.P cuirs et peaux  a GRAULHET dans le TARN (1986 1987) je suis partis ensuite a grégoire PARIS pour une mention complémentaire  de styliste patronnier que j'ai obtennu mais, j'habitait l'aisne a ce moment là et je n'ai obtenu que des emplois de mécannienne en couture  chez Delsey  dans le coin!!!

    Il a fallut que je me reconvertisse dans un autre emploi pour pouvoir continuer....... aujourd'hui j'ai l'impresion que j'ai toutes mes capacités  proffessionel d'avant avec un peut plus de maturité et de patience!! je voudrais savoir si des personnes se sont retrouvés comme moi obligées de changé de metier et envisage aujourd'hui d'y retourner si les professionnel nous laisse une autre chance !!!!!      merci de vos réponses

  •             
    passionnée
    Posté le 20/11/2007 à 17:14:13

    Bonjour Pomme02,

    Je vois qu’il n’y a pas eu précipitation pour des réponses.
    J’espère que depuis mars 2007, tu n’as pas lâché prise et que tu as continué tes recherches de ton côté, en faisant ton bout de chemin.

    Ecoute. Si tu es motivé, que tu en as vraiment envie, que tu t’en sens capable, le temps a passé, et si cette petite musique qui fredonne à tes oreilles et à ton cœur, tu as envie de la suivre, alors vas-y, montre ou fonce, tente ta chance. Le passé est le passé, et on est prêt quand on est prêt.

    Tu as une bonne formation, effectuée jusqu’au bout, je ne sais pas ta situation, ni si tu es prête à changer de lieu géographique et dans quelle mesure, mais j’ai l’impression que pour toi ce qu’il te manque c’est un pied à l’étriller.
    Alors voici, parmi ce que je connais, ce qui pourrait si rapporter le mieux :

    Formation Post Bac Artisan Maroquinier, lycée d’Alembert à Issoudum (Indre), d’environ 8 mois (au rythme scolaire de l’éducation nationale).
    Intitulée aussi FCIL (formation complémentaire d’initiative locale) Artisan Maroquinier, en passant par le Greta de l’Indre.
    Environ 16 semaines à l’école et 16 semaines en périodes d’entreprises.
    Créée à l’initiative de professionnels français de la maroquinerie de luxe et du lycée professionnel Jean d’Alembert, afin de préparer des personnels hautement qualifiés pour une adaptation rapide et aisée sur tout type d’activité dans le domaine de la mise au point, de la réparation, des commandes spéciales …

    - Revue des types de montage / Pièces d’études.
    - Recherche de solutions technologiques, par rapport aux matières et aux contraintes.
    - Utilisation d’un fichier, d’un catalogue de données ou d’un cahier de tendances.
    - Modification de taille / d’agencement / Maîtrise des volumes et proportions / Recherche des tendances.
    - Utilisation de la CAO 2D (je ne sais pas quel logiciel, ni s’il y a de la 3D) (Mais ça c’est le plus, qui devait te manquer dans ta formation à la CCI de Paris).
    - Réalisation prototype de petite maroquinerie, d’un sac ou d’un bagage.
    - Situer et décider de la réparation d’un sac ou d’un bagage / Effectuer celle-ci sur un produit client.
    - Initiation couture-sellier.
    - Initiation gainerie et façonnage d’un produit.

    Demander détail du contenu de la formation pour confirmation.
    Formation reconduite d’une année à l’autre, de septembre à juin hors vacances scolaires, débouchant sur un emploie, en général les premières années en production en passant par tous les postes, dans le but d’intégrer par la suite le bureau d’étude ; sauf cas exceptionnel d’une personne capable d’intégrer directement le bureau d’étude.
    Attestation Rectorale en fin de formation. Contrôle en cours de formation par évaluation des modules préparés au lycée et réinvestis dans l’entreprise.
    Inscription et sélection sur dossier à retirer, puis série de tests. Niveau de recrutement : élèves de Bac Pro ou BTS Cuir, autres candidats les contacter. Dans tous les cas le candidat devra posséder une grande capacité de travail, d’autonomie, et la volonté de mobilité dût à l’implantation nationale des entreprises.
    Le lycée dispose d’un internat, et l’hébergement pendant les périodes de stages est étudié pour chaque terrain et est à la charge de l’entreprise.
    Contact : M. SADOIS Chef de Travaux : 02 54 03 67 00

    Pose des questions, et explique ta situation, ton désir.

    Le Hic, c’est qu’il faut impérativement partir de l’internat le week-end, que les lignes de trains SNCF pour les grandes distances sont males desservies et détaillées, et qu’apparemment il faut même amener ses draps et couvertures.
    Il y a quelques hôtels pour le week-end à différents tarifs ; demander plan et prospectus d’Issoudum dans n’importe quel Office du tourisme de France.
    Le coût, internat+hôtel+repas le week-end et en périodes d’entreprises+laveries-automatiques pour le linge+trains entre les vacances scolaires et le lycée ou l’entreprise, commence à chiffrer haut si on a pas de revenu quel qui soit. D’où l’intérêt de passer par le Greta, mais à ce moment la formation devient payante.
    S’y prendre à l’avance pour l’organisation avec le GRETA d’Issoudum, si on passe par eux dans le but de monter un dossier, car suivant situation et lieu d’origine, il va falloir pagayer dur et la route est longue et pleines de méandres. Mais rien n’est impossible.

    Dommage qu’il n’y ai pas de contrat de professionnalisation à ma connaissance, mais on peut toujours essayer de le faire créer. Dommage aussi quelle ne soit pas diplômante par une MC ou BM ou autre, car franchement ils sont où les diplômes de formations complémentaires dans notre corps de métier la maroquinerie, sans faire un BTS qui n’existe même pas en spécialité maroquinerie ou un Bac Pro qui s’est développé petit à petit dans la France, le BT qui a été supprimé il y a longtemps, la MC Modéliste-Patronier Maroquinerie Niv.IV à la CCI de Paris qui n’existe plus,(remplacé par le bac pro), qui d’ailleurs était la seule en France comme si tout le monde pouvait aller à Paris, et puis faut pouvoir tenir le choc, supporter d’entendre qu’on vienne de « province » comme si la France était constitué de Paris et de la Province, que c’est la mode , la mode , la mode ! pour peut que la tendance est une langue étrangère et que tu es en panne d’inspiration, tu décroches et es complètement largué, pas mal pour une entrée en matière, bonjour le décalage avec ton BEP de province, tout seul dans cette ville où il faut regarder en l’air pour voir le ciel, et pourtant tu avais bien réussi les tests, tu avais bien posé plein de questions à la journée porte ouverte .Mais c’est vrai, c’est une très bonne formation, il faut juste tenir le choc, être entouré, et que tout ce passe bien.
    Mais je m’égare … désolé.
    Donc, un diplôme après le BEP, à coté ou avant le Bac Pro, ça manque terriblement en maroquinerie, ça existe bien pour d’autres métiers comme pour la pâtisserie, alors qu’est-ce qui ce passe, qu’est-ce qu’on attend ! ? Du pratique, du pratique, du manuel, ouvert à tous sans limite d’âges.
    Je sais pas moi, une MC gainerie/dorure (où il n’existe aucune formation professionnelle, comme d’ailleurs :)la Malleterie, un BM Sellerie-Maroquinerie d’Art, un BM Artisan Maroquinier Hautement Qualifié, un BMA Artisan Créateur en Maroquinerie, un BMA Technicien Prototypiste Maroquinerie, BMA Technicien Méthode/Sécurité/Maladies Professionnelles Maroquinerie (la formation de méthode qui à tout simplement disparue des formations pour adultes, pendant que nous on « crève » en productions de sous-traitance), un BMA Agent d’encadrement/Chef d’équipe et d’atelier en Cuir avec division de la section en spécialités maroquinerie ou chaussures (avec des candidats qui ont apprit le métier, ça leur évitera d’oublier le respect de la personne et de nous expliquer un geste qu’ils ne sont même pas capable de faire correctement, ni de se rendre compte de se qui est faisable de faire ou non dans les temps, avec de l’anticipation et de l’organisation, du dialogue et de l’écoute, de la coordination), un BM de Technicien de maintenance de machines Cuir (qui lui aussi a disparu, et maintenant les entreprises commencent à ne plus trouver de nouveaux personnels capables de régler une machine à piquer. Y’ a qu’à voir ce que ça va donner en observant le corps de métier des tisseurs qui cherche désespérément des gareurs, c’est la panique !), …On a quand même pas oublié ces métiers dans nos livres de la première moitié du XXème siècle, précieusement gardés dans nos musés de la capitale !
    Et par pitié tous ses beaux métiers, pas à paris, car tout le monde peut vivre en province, mais tout le monde ne peut pas aller à paris, et trouvez des villes desservies par des grandes lignes de trains sans faire le grand détour par notre si belle capitale.
    Voilà j’ai encore un peut dérivée ...

    Come-back,
    Cher(es) Pomme02 et toute personne dans une situation similaire, que ce soit cette formation ou une autre, ou même rien du tout, rien ne t’empêche de postuler directement auprès d’entreprises, avec ta motivation et ton écoute afin de suivre le chemin de ton cœur. Bonne chance à tous, y compris à moi-même.

    Sincèrement.

  •             
    myCTC.fr
    Posté le 28/11/2007 à 12:00:06

     Bonjour,

    sachez qu'il existe des formations en maroquinerie proposée par le Centre de Formation de CTC dans le cadre de la formation continue : devenir prototypiste en petite maroquinerie ou en sac de ville, se perfectionner dans les techniques traditionnelles en maroquinerie, s'initier aux techniques de base en maroquinerie

    De plus, dites vous que CTC a pour mission de pérenniser les savoir-faire en maroquinerie et de mettre à disposition un fonds documentaires unique au monde en maroquinerie (dont la collection du Moniteur de la Sellerie depuis 1889). Et nous sommes en province ;-)

    Cordialement,

    L'équipe CTC.fr

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